La biométrie, un lien entre le monde physique et numérique

La Commission européenne se pose comme objectif de doter 80% des européens de portefeuilles numériques liés à leur identité d’ici 2030. Avec une quantité massive de données centralisées en un seul ou quelques endroits, les risques de sécurité deviennent très élevés. Une seule attaque implique que des malfaiteurs accèdent à plusieurs données sensibles de millions d’utilisateurs.

La solution comme le préconise IDEMIA, se présente dans la conception même de la solution qui implique le cryptage des informations sensibles et leur stockage sur l’appareil de l'utilisateur et non au niveau d’une base de données centralisée ce qui présente une barrière efficace aux attaques extensibles.

La biométrie est la garantie que le bon utilisateur utilise le bon appareil et c’est elle qui déclenche des opérations telles que des transactions monétaires, des échanges de données sensibles en corrélation avec la transaction (permis de conduire ou assurance lors de la location d’une voiture, par exemple)

Les initiatives de portefeuille numérique sont encore au stade de la proposition dans l’UE, même si nous assistons à une accélération du processus en Europe avec la probabilité de son développement au-delà des frontières européennes, s’il s’appuie également sur des normes internationales.